Les routes de chez nous : De la voie romaine à l'autoroute - Livre

Auteur(s)Jean-Claude Demory
ÉditionETAI

Le résumé

Plus qu'une histoire, cet ouvrage est une chronique, un recueil de faits, de témoignages, de propos, de récits et d'anecdotes destinés à réveiller le souvenir et la nostalgie chez celles et ceux qui ont connu " une certaine époque ", à laquelle la patine du temps donne aujourd'hui le charme d'un " âge d'or " à jamais révolu.
Les routes de chez nous raconte l'histoire de la route française et de son environnement à travers les siècles, mais aussi l'amélioration du balisage, de l'orientation, de la cartographie.
Ce sont aussi les " pionniers ", ces " fous du volant " qui s'appelaient De Dion, Renault, Panhard, Jenatzy... et qui lançaient leurs machines bringuebalantes à plus de 100 km/heure sur les routes n'ayant vu passer jusqu'alors que des attelages hippomobiles.
C'est aussi la route et la guerre, les exodes, les invasions, les routes bombardées et ravagées, labourées par les chenilles des blindés.

Puis vient l'époque où les charrons deviennent garagistes, les épiciers deviennent pompistes, les postes à essence se transforment en stations-service " à l'américaine ".

Le développement du tourisme routier, allant de pair avec la banalisation de l'automobile, voit l'apparition des premières hécatombes routières et le renforcement du Code de la Route. La route est devenue au XXe siècle un enjeu commercial incontournable avec la réclame, la publicité, les affiches, les murs peints, les magazines.
En ville, les avenues, les boulevards, les rues, leurs voies rapides sur les berges, et autres boulevards périphériques se percent et se développent avec leurs zones bleues, leurs sens uniques, leurs paramètres...

Ce livre, qui se lit comme un roman, se referme sur une évocation de quelques peintres et artistes de la route et de l'automobile tels que René Vincent, Ernest Montaut et Guy Sabran, qui ont su fixer des vivions étonnantes, riches et coloréesnde ce monde multiforme.

- 191 pages